Journal de fin de jeunesse

Anésthésie

Finalement, c’est comme si j’étais anésthésiée dans la journée. je ne sens rien, comme si tout allait bien.
Mais dans ces rêves, la douleur ressort, bien présente.
C’est déjà un signe que je ne suis pas un monstre. Qu’elle est bien là en moi. Je souffre bel et bien, mais la douleur se tait.

Ma psy m’a cité une fois, je ne sais plus qui d’ailleurs, mais qui disait "Les plus grande douleurs sont les douleurs silencieuses"